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L'objectif général est de mieux comprendre les interactions entre organismes (plantes et microorganismes symbiotiques/pathogènes) et les effets de perturbations environnementales sur celles-ci, et à termes, de contribuer à une théorie générale des interactions.
Porté par l’unité LIPM, lieu de synergie réussie entre l’INRA et le CNRS, cet identifiant est au cœur du projet du laboratoire d'excellence TULIP auquel est associée l’unité GBF (INRA-INP-ENSAT). Ce projet a été conçu autour de la fédération de recherche 3450 « Agrobiosciences, Interactions et Biodiversité ». Il devrait être le lieu d’un enrichissement mutuel entre biologie et écologie (conservation de la biodiversité, interactions avec l’environnement, modélisation).
Les recherches sur les plantes modèles et leurs applications à des systèmes végétaux d’intérêt agronomique (légumineuses,tournesol, tomate) exigent des installations permettant de poursuivre le changement d’échelle en biologie intégrative, réalisé avec le séquençage haut débit. Alors que le phénotypage en champ se met en place, la construction d’une plateforme de phénotypage haut débit en serres et le traitement associé des données en proximité des unités sont des priorités de 1er rang pour les innovations en science du végétal. Elles sont à ce jour les maillons incontournables pour comprendre la synergie plante-microorganisme (assimilation de l’azote) et avancer sur les questions clés de stress biotiques (pathologies des plantes) dans les conditions du changement climatique.
2 unités de recherche :
1 unité mixte technologique :
1 unité de service :
- CNRGV
1 unité expérimentale :
Le projet LabEx TULIP
Le projet LabEx TULIP a été retenu lors de la première vague de sélection des investissements d'avenir. Lauréat de la catégorie des LABoratoires d'EXcellence, il va permettre d'ancrer une recherche et un enseignement de haute qualité dans le domaine de l'écologie et de la biologie végétale.
Regroupant cinq unités d'excellence (classées A+ par l'AERES) dans les domaines des Agrobiosciences et de l'Environnement à Toulouse, il représente un potentiel de recherche d'environ 400 personnes appartenant à l'INRA, au CNRS, à l'UPS, l'INPT-ENSAT et l'ENFA.